''-ALORS, OU EST-CE QUE VOUS LES AVEZ FOUTUS????''
Il vociférait.
Il hurlait.
Il beuglait.
Pleurait-t-il déjà la mort de ses hommes? Non. Il terrifiait la créature fragile qu'il tenait entre ses griffes. Enfoncé jusqu'au sang, tenant fermement une gorge tremblante qu'il venait de soulever du sol sur l'impulsion du moment. La rage l'avait rendu aveugle. S'était-il transformé?
Merde. Je déteste quand ça fait ça. Bordel. J'espère que cet abruti n'est pas mort.
Il releva la tête vers l'officier, en approcha sa gueule et se retint d'en prendre une bouchée. Il empestait la peur à plein nez. Réaction parfaitement normal, quoique quelque chose clochait avec cet homme. Il était en mesure de se débattre et ne s'était pas fait dessus contrairement à tout autre mortel qui voyait le garou sous cette forme. La pathétique créature ouvrit la bouche pour respirer, dévoilant brièvement de petits crocs de vampire.
Mais qu'est-ce que c'est que cette merde... un vrai vampire serait en mesure de se défendre...
Reval décida qu'il avait suffisamment joué avec l'homme ainsi et relâcha sa proie. Le monstre reprit forme humaine et regarda l'homme qui se relevait de peine et misère, ses plaies se refermant déjà. Torse nu, pantalon déchiré, soulier éclaté, le Von pris un grand respire et regarda l'autre qui se frottait maintenant le coup. Le foudroyant du regard, il récupéra son sac et suivit l'abruti qui défilait presqu'à la course vers les demeures Hohenheim. Drôle comme un peu de motivation peut accélérer les choses. Exactement une minute quarante-trois secondes plus tard, le duo se retrouva devant une section pénitentiaire d'un laboratoire.
Les murs gris des couloirs étaient souillés de sang de pauvres gens qui avait eu le malheur de tomber sous les griffes Nazis et qui avait de toute évidence passé un sale quart d'heure entre ces murs. On voyait des marques de griffes un peu partout sur ceux-ci, des morceaux de viande qui n'avait rien d'apetissant traînaient ici et là. Des hommes en blouse blanche était éparpillés tout au long des couloirs, fiches et crayons à la main, complètement absorbés par leurs travaux. Les cinglés qui faisaient office de geôliers avait trouvé drôle d'inscrire à l'aide de sang séché la devise Arbeit Macht Freï au plafond.
Le coureur s'arrêta devant une porte, fourra la main dans sa poche et en sortie une petite clef qu'il inséra dans la serrure. Un déclique se fit entendre et la porte s'ouvrit sur une petite salle d'observation donnant directement sur une grande vitrine emplie de zombies. Ne reconnaissant pas ses hommes, le lycan ne broncha pas d’un poil et cherchait l’erreur. Il regarda plus attentivement, scrutant ce qu’il y avait au-delà des morts en sursis et remarqua une seconde vitrine derrière la horde de morts vivants dans laquelle ses hommes semblaient en parfaite santé... du moins.... physiquement. L'officier s'approcha d'une sorte de panneau de commande, poussa quelques boutons, tira une manette, se tourna vers la vitrine et attendit. Le sol qui se trouvait sous la bande de morts sans cervelle trembla et commença à descendre. Lentement mais sûrement, les cadavre bougeant se retrouvait petit à petit au niveau du sol, ne laissant plus que les deux barrières vitré entre le mâle Alpha et ses sujets. Tel un pont levis, les deux murs transparents basculèrent pour former un pont au dessus des zombies qui vaquait à leur occupation comme si de rien n'était. Les soldats avancèrent d'un pas hésitant sur la vitre blindée pour finalement sortir de leur cellule et se retrouver dans les couloirs ensanglantés. Reval sortie de la pièce afin de rejoindre ses hommes. Sans un mot, il se mit à avancer dans le dédale de chemins, l'officier vampire se dépêchant pour le dépasser et le guider vers le Major.
Lourdement escorté par une dizaine de faux vampire armée jusqu'aux dents et quelques Lycans, le groupe se rendit à la salle commune ou le Major venait de congédier Axel. Les deux êtres se saluèrent rapidement de la tête au passage. Arrêt des troupes, salut hitlérien puis débute la petite conversation.
''-Heil Major Montana. Je tiens à vous remercier d'avoir laisser mes hommes en vie.
-De rien mon cher Refal, avez vous ze qué fous désiriez?
-Jawol Major Monatana. Il faut maintenant attendre le renouveau, dans trois jours. D'ici là j'aurais le temps de préparer le rituel et de m'installer dans mes quartiers.
-Parlant de za, l'Aspirant Schrödinger fous y conduira dès qu'il sera révénue.
-Danké Major Montana.''
Le petit gamin aux allures de boy-scout réapparut quelques instant plus tôt, ses deux oreilles poilues bien dresser au dessus de sa tête.
Bordel, il a l'air d'un garou mais je ne perçois rien en lui qui me le confirme... mais qu'est-ce que c'est que ça?
''-Heil, Major, Heil, Von Krusenstern! je suis l'Aspirant Shrödinger pour vous servir!'' dit-il tout souriant. Reval fit mine de le suivre mais le Major l'interrompit.
''-Refal, prononca-t-il.
-Ya Major Montana?
-Ne laizé pas fos humains ze promené dans la base, ils mourront.
-Je sais Major Montana.
-Bien, bien, dans zé cas ché né fous retiens pas plus longtemps, fous pouffez maintenant prendre plaze dans fos quartier puis aller faquer à vos projet.
-Bonne nuit Major Montana.
-De même Refal Von Kruzenztern, et surtout, bienvenue parmis nous.''
Le groupe suivit l'Aspirant jusqu'à une porte metalique situé un peu plus loin de la salle commune. Leur hôte du moment se retourna vers Reval et s'inclina rapidement avant de purement disparaitre. Ils ouvrirent la porte pour découvrir ce qui deviendrait leur nouvelle demeure. Une grande salle rectangulaire les attendait de l'autre côté, possèdant un haut plafond arqué ainsi qu'une grande porte au fond. Des lits étaient placé parallèlement aux murs, formant un ainsi un chemin menant directement à ce qui devint rapidement la tanière du chef. La grande porte cachait ce qui était jadis un bureau au toît démoli par les bombes brièvement réparé par les nouveaux occupants. Un lit y avait été installé, une commode et une table s'y trouvait également. Reval fouta son sac sur le lit et sortit pour superviser les hommes qui s'installaient. Jubilant de troquer leur sombre et terrifiante cellule pour cet endroit plus ou moins accueillant, les soldats commencèrent à s'approprier les couches et les casiers. Lorsqu'ils défirent leur peu de bagage, le vieux garou sortie de la salle. Il allait fairele guet aux portes du baraquement toute la nuit, rôle qu'il ne pouvait confier à personne d'autre vue la situation. Non pas qu'il ne fesait confiance aui Major, mais bien à ses troupes surnaturels. Veillant que nulle n'entre ni ne sorte sans autorisation, la pièce gardé se fit de plus en plus tranquille, les hommes s'endormant un à un sous l'oeil vigilant, épuisés par les dures épreuves de leur voyage et de leur emprisonnement.
http//: J’le sais c’est plein de phô-phôtes pis c’est mal écrits, mais bordel, je l’ai fait d’un seul trait avec World pour corriger le gros de phôtes pour pas faire saigner les yeux de personnes
P.S. I AM BACK. NOW DEAL WHIT IT. ///
Il vociférait.
Il hurlait.
Il beuglait.
Pleurait-t-il déjà la mort de ses hommes? Non. Il terrifiait la créature fragile qu'il tenait entre ses griffes. Enfoncé jusqu'au sang, tenant fermement une gorge tremblante qu'il venait de soulever du sol sur l'impulsion du moment. La rage l'avait rendu aveugle. S'était-il transformé?
Merde. Je déteste quand ça fait ça. Bordel. J'espère que cet abruti n'est pas mort.
Il releva la tête vers l'officier, en approcha sa gueule et se retint d'en prendre une bouchée. Il empestait la peur à plein nez. Réaction parfaitement normal, quoique quelque chose clochait avec cet homme. Il était en mesure de se débattre et ne s'était pas fait dessus contrairement à tout autre mortel qui voyait le garou sous cette forme. La pathétique créature ouvrit la bouche pour respirer, dévoilant brièvement de petits crocs de vampire.
Mais qu'est-ce que c'est que cette merde... un vrai vampire serait en mesure de se défendre...
Reval décida qu'il avait suffisamment joué avec l'homme ainsi et relâcha sa proie. Le monstre reprit forme humaine et regarda l'homme qui se relevait de peine et misère, ses plaies se refermant déjà. Torse nu, pantalon déchiré, soulier éclaté, le Von pris un grand respire et regarda l'autre qui se frottait maintenant le coup. Le foudroyant du regard, il récupéra son sac et suivit l'abruti qui défilait presqu'à la course vers les demeures Hohenheim. Drôle comme un peu de motivation peut accélérer les choses. Exactement une minute quarante-trois secondes plus tard, le duo se retrouva devant une section pénitentiaire d'un laboratoire.
Les murs gris des couloirs étaient souillés de sang de pauvres gens qui avait eu le malheur de tomber sous les griffes Nazis et qui avait de toute évidence passé un sale quart d'heure entre ces murs. On voyait des marques de griffes un peu partout sur ceux-ci, des morceaux de viande qui n'avait rien d'apetissant traînaient ici et là. Des hommes en blouse blanche était éparpillés tout au long des couloirs, fiches et crayons à la main, complètement absorbés par leurs travaux. Les cinglés qui faisaient office de geôliers avait trouvé drôle d'inscrire à l'aide de sang séché la devise Arbeit Macht Freï au plafond.
Le coureur s'arrêta devant une porte, fourra la main dans sa poche et en sortie une petite clef qu'il inséra dans la serrure. Un déclique se fit entendre et la porte s'ouvrit sur une petite salle d'observation donnant directement sur une grande vitrine emplie de zombies. Ne reconnaissant pas ses hommes, le lycan ne broncha pas d’un poil et cherchait l’erreur. Il regarda plus attentivement, scrutant ce qu’il y avait au-delà des morts en sursis et remarqua une seconde vitrine derrière la horde de morts vivants dans laquelle ses hommes semblaient en parfaite santé... du moins.... physiquement. L'officier s'approcha d'une sorte de panneau de commande, poussa quelques boutons, tira une manette, se tourna vers la vitrine et attendit. Le sol qui se trouvait sous la bande de morts sans cervelle trembla et commença à descendre. Lentement mais sûrement, les cadavre bougeant se retrouvait petit à petit au niveau du sol, ne laissant plus que les deux barrières vitré entre le mâle Alpha et ses sujets. Tel un pont levis, les deux murs transparents basculèrent pour former un pont au dessus des zombies qui vaquait à leur occupation comme si de rien n'était. Les soldats avancèrent d'un pas hésitant sur la vitre blindée pour finalement sortir de leur cellule et se retrouver dans les couloirs ensanglantés. Reval sortie de la pièce afin de rejoindre ses hommes. Sans un mot, il se mit à avancer dans le dédale de chemins, l'officier vampire se dépêchant pour le dépasser et le guider vers le Major.
Lourdement escorté par une dizaine de faux vampire armée jusqu'aux dents et quelques Lycans, le groupe se rendit à la salle commune ou le Major venait de congédier Axel. Les deux êtres se saluèrent rapidement de la tête au passage. Arrêt des troupes, salut hitlérien puis débute la petite conversation.
''-Heil Major Montana. Je tiens à vous remercier d'avoir laisser mes hommes en vie.
-De rien mon cher Refal, avez vous ze qué fous désiriez?
-Jawol Major Monatana. Il faut maintenant attendre le renouveau, dans trois jours. D'ici là j'aurais le temps de préparer le rituel et de m'installer dans mes quartiers.
-Parlant de za, l'Aspirant Schrödinger fous y conduira dès qu'il sera révénue.
-Danké Major Montana.''
Le petit gamin aux allures de boy-scout réapparut quelques instant plus tôt, ses deux oreilles poilues bien dresser au dessus de sa tête.
Bordel, il a l'air d'un garou mais je ne perçois rien en lui qui me le confirme... mais qu'est-ce que c'est que ça?
''-Heil, Major, Heil, Von Krusenstern! je suis l'Aspirant Shrödinger pour vous servir!'' dit-il tout souriant. Reval fit mine de le suivre mais le Major l'interrompit.
''-Refal, prononca-t-il.
-Ya Major Montana?
-Ne laizé pas fos humains ze promené dans la base, ils mourront.
-Je sais Major Montana.
-Bien, bien, dans zé cas ché né fous retiens pas plus longtemps, fous pouffez maintenant prendre plaze dans fos quartier puis aller faquer à vos projet.
-Bonne nuit Major Montana.
-De même Refal Von Kruzenztern, et surtout, bienvenue parmis nous.''
Le groupe suivit l'Aspirant jusqu'à une porte metalique situé un peu plus loin de la salle commune. Leur hôte du moment se retourna vers Reval et s'inclina rapidement avant de purement disparaitre. Ils ouvrirent la porte pour découvrir ce qui deviendrait leur nouvelle demeure. Une grande salle rectangulaire les attendait de l'autre côté, possèdant un haut plafond arqué ainsi qu'une grande porte au fond. Des lits étaient placé parallèlement aux murs, formant un ainsi un chemin menant directement à ce qui devint rapidement la tanière du chef. La grande porte cachait ce qui était jadis un bureau au toît démoli par les bombes brièvement réparé par les nouveaux occupants. Un lit y avait été installé, une commode et une table s'y trouvait également. Reval fouta son sac sur le lit et sortit pour superviser les hommes qui s'installaient. Jubilant de troquer leur sombre et terrifiante cellule pour cet endroit plus ou moins accueillant, les soldats commencèrent à s'approprier les couches et les casiers. Lorsqu'ils défirent leur peu de bagage, le vieux garou sortie de la salle. Il allait fairele guet aux portes du baraquement toute la nuit, rôle qu'il ne pouvait confier à personne d'autre vue la situation. Non pas qu'il ne fesait confiance aui Major, mais bien à ses troupes surnaturels. Veillant que nulle n'entre ni ne sorte sans autorisation, la pièce gardé se fit de plus en plus tranquille, les hommes s'endormant un à un sous l'oeil vigilant, épuisés par les dures épreuves de leur voyage et de leur emprisonnement.
http//: J’le sais c’est plein de phô-phôtes pis c’est mal écrits, mais bordel, je l’ai fait d’un seul trait avec World pour corriger le gros de phôtes pour pas faire saigner les yeux de personnes
P.S. I AM BACK. NOW DEAL WHIT IT. ///